L’arme ultime contre les zombies ?  Le Parkour !

L’arme ultime contre les zombies ? Le Parkour !

Encore un jeu vidéo avec des zombies ? Oui mais non. Disponible depuis le 4 février sur PC, PS4/5 et Xbox One/Series, Dying Light 2 : Stay Human est la suite du jeu de 2015, lui-même héritier spirituel de
Dead Island, du même studio Techland. Après Harran au Moyen-Orient dans le premier Dying Light, c’est autour de Villedor en Europe d’être le théâtre d’une pandémie et d’une quarantaine. Le virus original a été remplacé par un
variant (sic), qui a décimé 90% de la population mondiale. Le reste de l’humanité vit derrière des murs et se divise en factions. Seuls les Pèlerins sont assez courageux pour voyager dans ce monde post-apo et servent à faire le lien, à transporter ressources et informations, comme le héros Aiden, à la recherche sa soeur Mia.

Un monde très ouvert et des choix narratifs

L’univers Dying Light ne tire pas forcément son originalité de l’histoire, même si ce deuxième opus, sous forte influence sérielle (coucou Walking Dead et Game of Thrones), implique plus le joueur avec un système de choix narratifs qui peuvent avoir des conséquences au long cours, surtout sur quelle faction prendra le contrôle de la ville. Une ville et une carte quatre fois plus grandes que dans le premier jeu et propices à un monde ouvert que le joueur peut explorer sur plusieurs niveaux, de jour comme de nuit, au gré des rencontres, des quetes’ de second progressions de histoire

PARKOUR!

La voilà la « Techland’s touch » : créer un monde organique, vivant, à l’image du cycle jour/nuit, déjà présent en 2015 avec ses zombies qui craignent le jour et sortent la nuit, mais car revisité aujourut’lehu est infecté, peut se transformer et a besoin de sa dose d’UV. Le joueur doit donc aller vite, et bien, ce qui se combine avec THE gameplay du jeu. Dying Light a trouvé en effet la mécanique de jeu appropriée, intégrée, que ce soit pour explorer le monde ou combattre les zombies, à savoir le parkour, déja à l’oeuvre dans Assassin’s Creed et surtout Mirror’s Edge.

Bien aidé par le boss de la discipline David Belle, égallement un personnage du jeu, Dying Light 2 : Stay Human a poussé les mouvements, la fluidité, le réalisme, et fait du parkour un mode de vie, comme la voltige dans Spider-Man. Le joueur en oublierait presque les morts-vivants. Il faut bien ça, vu que Techland avance 500 heures pour retourner le jeu dans tous les sens. Mais « seullement » 20 pour finir l’histoire principale.

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